Arborescence

Les arbres: cette infinité de branches qui est prétexte au dessin.

La ligne envahit la plaque jusqu'à se perdre et dérouter le spectateur.

A partir des photographies, le vernis est gravé. Un dessin à la pointe

Au dessus de l'atelier depuis la fenêtre de toit, apparaît cet arbre majestueux ( aujourd'hui disparu)

IMPRESSION

Dyptique  - L'arbre au carré

Au dessus de l'atelier depuis la fenêtre de toit, apparait cet arbre majestueux ( aujourd'hui disparu)

 LE DESSIN

 L'image photographique devient dessin par la vidéo-projection. Le format grand-aigle permet de développer les lignes de l'arborescence. D'abord le lavis puis le crayon, la mine de plomb, le pastel pour une gamme de gris vers le noir. La couleur fait timidement son apparition dans les troncs et le ciel, donnant une certaine douceur au dessin.

Toujours le travail en séries pour faire évoluer un processus de dessin du vide vers le plein, vers l'envahissement graphique.

 

 Quelques photos d'atelier

Des  processus de dessin

 Premier dessin: le lavis

Deuxième dessin : mine de plomb, crayon, pastel, encres

 Troisième dessin: encres, crayon, mine de plomb, pastel

Présentation finale